(…) «Notre industrie est très capitalistique. Nos besoins en fonds de roulement sont importants pour financer nos stocks. Nous produisons avec trois à six mois d’avance sur la cadence du constructeur. Pour engranger un euro de chiffre d’affaires, nous devons investir un euro», explique Emmanuel Viellard, président de Lisi Aerospace, leader européen des fixations aéronautiques (fuselages et moteurs). «Entre 2010 et 2015, nous prévoyons d’investir 250 millions d’euros pour financer 60 % de hausse d’activité liée à l’augmentation des cadences des constructeurs», ajoute-t-il. (…)
via Le Figaro – Sociétés : Les fournisseurs d’Airbus se battent pour suivre la cadence.